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mardi, 03 avril 2007

24h en overdose

La morphine apaise quelque peu mes douleurs et me permet de goûter de nouveau à la vie... Bien que restant encore allongée une grande partie de mes journées, j'ai tout de même la force suffisante pour emmener et rechercher les enfants à l'école sans être pliée en deux et marcher comme un escargot (dixit les enfants).

Le reste du temps, je le passe devant ma télé à regarder 24H (chrono). Série que je n'avais jusque-là jamais regardée mais dont j'avais beaucoup entendu parler... Et c'est devenu une addiction. J'ai enchaîné les deux premières saisons sans même m'en rendre compte et c'est une chance de pouvoir regarder tous les épisodes sans avoir à attendre une semaine entre chaque.

Bon, certes, c'est très "god bless america" et "USA saved the world" (...once more). Mais Kiefer Sutherland est bluffant, on le voudrait pour mari, gendre ou père, on ne sait pas trop mais on l'adopte, c'est obligé. Et puis c'est stressant, chaque épisode pourrait faire un mini film. Voilà donc une occupation qui fait passer mes journées en un clin d'oeil. Allez, je file, la saison 3 m'attend !

A comme...

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Après tout, on ne devrait pas avoir besoin de l'Amour ! si seulement c'était un besoin que l'on se créee, qui varierait à la demande et que l'on pourrait faire fluctuer suivant le désir ! Oui, l'Amour ne devrait qu'être que bon, jamais source de souffrance, de tristesse ou de haine. Un lieu choisi à deux, où l'on se retrouverait, quand le coeur ou le corps nous en dit.

Pas un truc qu'on subit, dont on est la marionnette, qui nous envoie des pulsions, des flèches ou des sensations de douceur jusqu'en dedans. Tellement contradictoire, cet Amour. Je t'aime mais je te hais. Je t'adore mais je te blesse, je te désire mais tu es une traîtresse, mon Coeur, menteuse, mon Amour , s.........

Fichu Amour, je te déteste. Je n'aurais jamais dû croiser ta route, Après toi il ne subsiste plus que braises et cendres. Il ne naît rien après elles. Rien de bon. Si je n'avais jamais croisé ta route, alors je rêverais encore aux pays merveilleux, où les princes charmants vous embrassent tendrement. Je serais encore Sissi qui pleure son Aimé.

Maintenant je suis juste un tas de cendres. Un soupçon de vent et il disparaît. Un coup de pied et il s'envole.

Voilà le résultat de ce qu'on appelle le sentiment le plus beau qu'il soit...

Foutaises !

vendredi, 30 mars 2007

Au jour le jour...

Premières séances de kiné, et tout est toujours aussi douloureux qu'il y a une semaine. J'ai l'impression de n'avoir pas avancé d'un pas. Retour chez mon médecin de famille, qui ne connaît rien de mes problèmes de dos chroniques depuis 20 ans, vu que j'ai toujours colmaté en une ou deux séances chez les osthéos du coin. Résultat il n'a pu que constater que seule la kiné me viendrait en aide, donc on poursuit. L'arrêt est prolongé d'une semaine avec passage à sister morphine en espérant que je vais, enfin, souffrir un peu moins.

Retour de mes filles à la maison, petites choupinettes qui s'inquiètent tant pour moi ! mais quel réconfort de les avoir là, enfin un peu de vie dans l'appart et une excellente motivation pour me remettre au plus tôt sur mes deux jambes. Il n'y a pas plus grand moteur que l'amour des enfants, leurs sourires, leurs dessins, leur présence, leurs petites attentions si attendrissantes.

Ce soir, c'est fiesta, 7 ans de la choupinette - avec pas mal de retard - mais elle a soufflé ses bougies entourée de ses copin(e)s d'école pendant ses 15 jours de classe de neige, elle avait presque oublié que ses cadeaux l'attendaient ici, c'est la fête après la fête !

Merci de vos messages, de votre présence, même virtuelle ; et très bon WE à vous !

jeudi, 29 mars 2007

Confusion

Je dors mal. Depuis plusieurs nuits je cherche le sommeil et lorsqu'il s'échappe, je tourne en rond. Je sais bien depuis quand. Depuis ses mails, depuis ma réponse et puis encore ses mails qui m'obsèdent. Je les relis, à des heures différentes, histoire de voir si avec mon changement d'humeur j'aborde les choses différemment ; mais rien n'y fait.

L'obsession avance... Et si ? Et si c'était moi qui me trompais, moi qui étais dans l'erreur, moi qui craignais d'avancer ?

Lui semble si sûr de son Amour, un vrai roc. Et je suis là, avec mes doutes misérables, mes questions auxquelles il répond avec un aplomb désarmant. Les arguments qu'il lève d'un amour répété à l'infini...

Et je sais, tout au fond de moi, je SAIS l'amour que je ressens pour lui. Je sais que c'est inexplicable, cette espèce de conviction que j'ai eue tout d'un coup cet été que lui et moi c'était l'évidence, c'était l'Amour avec un A majuscule. C'est loin et c'est si proche à la fois. Une rencontre, une conviction qui éclate d'un coup, une évidence. Jamais je n'ai aimé quelqu'un comme cela. Jamais je n'ai eu cette certitude, jamais je n'ai ressenti à ce point des sentiments aussi puissants pour quelqu'un, jamais on ne m'as aimée de cette façon ; de la façon que j'attendais depuis toujours... Jamais ! ... jusqu'à lui.

Comme me disait A. "en fait, si je résume : tu l'aimes, il t'aime mais vous vous faites du mal... heu ?? pourquoi ?"

C'est d'un tel bon sens ! Oui, pourquoi ? Pourquoi ? Suis-je donc si intransigeante, si dure, si extrême que je ne puisse lui pardonner ce besoin qu'il a eu d'être seul pour se reconstuire, se retrouver ? Ou bien est-ce plutôt la peur qui me guide et que je cherche à fuir ?

Notre histoire est inachevée et nous le savons tous les deux. Peut-être est-ce juste cette sensation de frustration qui nous pousse l'un vers l'autre, tout le temps, irrémédiablement ? Ou bien c'est la soif commune de continuer notre histoire parce que l'un sans l'autre on se sent mal, incomplets et mal-heureux.

Je lui ai demandé d'attendre, parce que c'est confus en moi, parce que les choses ne sont pas dans la bonne case et que j'en ai perdu mes repères. Le seul repère fixe, mon point d'ancrage, mon phare, c'est ce que je ressens lorsque je pense à lui et à notre Amour passé. C'est cette envie d'être de nouveau dans ses bras. C'est ce désir intense de le toucher, de le regarder et de pouvoir l'aimer à nouveau, sans barrage, sans retenue, sans entrave.

Oui : je l'aime, il m'aime alors pourquoi tout compliquer ? Et si on (se) laissait juste aller ?...

mercredi, 28 mars 2007

Peur(s)

C'était couru d'avance...

Un mail de plus, un mail de trop et j'ai balancé mon scud avec (un peu) la mort dans l'âme et (surtout) le souhait que cela mette un point final aux échanges à sens unique.

2 jours.

Il a tenu 2 jours et c'est reparti.

Je me sens épuisée. Je n'ai pas envie d'argumenter ni d'expliciter. Il me connaît trop. Il sait mes points faibles, il connaît mon talon d'Achille. Il martèle son amour plus fort que tout, encore, et encore. Et je n'arrive plus à lutter." je t'aime et je t'aimerai toujours, même si je ne peux pas t'obliger à m'aimer aussi. Toutefois j'aimerais quand même que tu me l'écrive noir sur blanc : je ne t'aime plus, dégage de ma vie ! " Je suis incapable de cela et il le sait...

Je me sens faible face à lui. Je sens les fissures qui se dessinent en moi. Il me parle de fierté. Tiens, ça faisait longtemps. Oui cela doit faire partie de mes défauts. Ce besoin, cette nécessité de ne jamais rien devoir à personne, quel qu'il soit. Cette urgence permanente à ne pas vouloir m'appuyer sur quiconque. Parce qu'on est seul dans la vie, et s'affaiblir au point de compter sur l'autre, c'est se mettre en danger. Et je ne le veux plus. Je ne veux pas risquer et me planter. Je joue les fières mais en-dedans je suis morte de trouille, parfois.

Et si j'avais dit oui ? Si j'avais pris un appartement avec lui et qu'il me lâche ? C'est moi, c'est ma propre famille qui serait alors en danger et je ne le peux pas. Je serais seule, je dirais banco ! mais avec mes enfants je ne joue plus. Terminé, game over.

Repartir avec lui c'est re-prendre ce risque. Il me promet, me jure qu'il a changé, que c'est un autre homme avec pour seule différence un amour plus fort et plus affirmé pour moi.

Mais j'ai peur.
je voudrais que le temps s'arrête et pouvoir enfin respirer. Que le temps passe sans moi et qu'il me choisisse pour de bon, pas pour de fausses raisons ou par crainte d'être seul.

Je voudrais disparaître, un ou deux ans et voir ce qu'il devient.

J'en ai marre.

 

lundi, 26 mars 2007

Occupations

Je n'ai encore jamais de ma vie été contrainte ainsi à garder le lit, et c'est une rude expérience pour moi qui ai en permanence un besoin irrepressible de bouger. Alors quoi faire pour m'occuper, toutes ces longues journées ?

Bouquiner, regarder la télé (vive la télé sur l'ordi !), écluser toutes les séries possibles, des 4400 à day break en passant par Veronica Mars ; les incontournables prison break, heroes, grey's anatomy ou lost étant en panne de suite...

Piquer la DS des enfants pour jouer à Kirby ou zoo keeper...

Grignoter un morceau de chocolat à l'orange, pas assez faim pour plus et pas la force de cuisiner de toute façon.

Quelques cigarettes, de la musique et tenter de se lever histoire "de voir"... qu'au bout d'une demi-heure c'est la cata et qu'il va falloir une heure de position allongée pour que la douleur s'apaise un peu.

Allez, on garde le moral, on se dit que demain ca sera forcément mieux qu'aujourd'hui, même si les signes tangibles ne sont pas vraiment décelables à l'heure qu'il est.

Repos, repos qu'ils disaient... Argh.

 

Grande Classe !

Pas besoin de l'ouvrir cette enveloppe, l'écriture je la connais désormais, et le cachet de la poste faisant foi, il ne l'a pas déposée sur mon paillasson celle-ci !

J'ai failli jeter direct à la poubelle, je m'attendais au contenu, à peu de choses près.

En fait il a opté pour me retourner l'album-photo-cadeau, offert en souvenir il y a quelques mois. Il n'est pas entier, il a tout de même gardé les photos de lui qui le mettaient en valeur (faut pas pousser non plus), donc il a arraché et commenté chaque photo, à grands coups de feutre rageur, le tout accompagné de mes lettres manuscrites soigneusement surlignées et commentées elles aussi.

Je n'ai rien lu, j'ai tout remis dans l'enveloppe et hop, à la benne où ce fatras trouve sa bonne place.

On dirait un pré-ado en crise, et tout compte-fait, c'est bien ce qu'il est.

... et pour ce qui est de la classe, bravo champion t'as tout compris : tu es un vrai tombeur qui sait parler aux femmes, toi, tu sais ?!

 

vendredi, 23 mars 2007

Down

Charmante journée que celle-ci... Je le sentais en me levant, que mon dos ne répondait plus présent... Mais pas le choix, il fallait emmener la grande à l'école. J'ai donc accompli ma mission, et me suis rendue au boulot en espérant un peu que les médicaments feraient effet...

Que nenni. J'ai tenu une heure et impossible de marcher. Au boulot ca ne plaisante pas. J'ai donc eu droit à la descente des escaliers en chaise à porteur (merci les ascenseurs en panne), puis aux services des pompiers qui m'ont, avec gentillesse et humour enfermée dans une coque gonflable et direction les urgences.

Je n'avais jamais, jusqu'alors, goûté aux urgences. Et je savais que l'attente y était longue. Mais là, tout de même... 4h30 ca a vraiment été très très long. J'ai bien failli me sauver, si seulement je n'avais pas eu si mal ; mais là impossible de me décoller du brancard alors j'ai compté les dalles du plafond et regardé défiler les éclopés de la journée. Heureusement que mon Ipod est toujours sur moi, au moins, cela a occupé un peu de temps.

Au final, c'est mon lumbago qui se rappelle à son bon souvenir. Le traitement de cheval qu'on m'a octroyé ne me semble pas faire grand effet. Je ne suis bien qu'à l'horizontale, alors je vous laisse là car je ne tiens déjà plus.

Bon WE à vous quand même !

jeudi, 22 mars 2007

End

Bon et bien voilà...

La morale de l'histoire c'est que parfois, dans la vie, l'amour ne suffit pas.

J'ai été impuissante à le sortir de son trou,
L'amour avait beau être là, il n'était sûrement pas assez fort pour dépasser tout cela.

J'ai toujours pensé que l'amour était quoiqu'il arrive, le plus fort... "dans la peine et dans la joie, dans l'adversité comme dans le bonheur..." Ici, cela n'a pas été le cas. J'ai eu beau le soutenir, être patiente, l'écouter, l'encourager, lui remonter le moral : rien n'y a fait, il ne peut pas être heureux, pas plus avec moi que sans moi ; et le reste ne m'appartient pas.

C'est à lui de mener ses propres luttes, et je n'ai pas ma place dans tout ça...

J'ai le mérite d'y avoir cru... lui aussi je pense...

Cette fois-ci c'est terminé,
Pour de bon.

[Solo...]

lundi, 19 mars 2007

Descente

Moral en vrac et impossible pour moi de tenir plus d'une demi-heure debout ou assise. Jamais souffert comme ça, et j'enrage contre ce corps qui ne veut pas suivre. J'appréhende la suite, le retour de mes enfants. Comment gérer si je ne peux même pas marcher ? J'ai trop mal pour l'instant. Il n'y a qu'allongée que je tiens le choc et que je retrouve après quelques heures la force nécessaire pour me traîner jusqu'à la télé, histoire d'alterner.

Je me sens tellement impuissante. Pour la 1ère fois de ma vie je constate que la volonté ne suffit plus. Je subis et je n'ai aucun moyen d'action. Je ne peux même pas aller chez le médecin, c'est lui qui va être obligé de venir à moi.

Pourquoi j'ai honte d'être affaiblie ?

Pourquoi m'est-il impossible de demander de l'aide ?

De toute façon je dois gérer, je ne sais pas encore comment mais il a bien falloir que je gère. Putain de moral qui se barre lui aussi.

Marre, marre, mal...

vendredi, 16 mars 2007

Lapin de Cat.1

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J'en connais un qui, ce soir, va attendre une belle brunette de 35 ans pendant longtemps... Et oui, elle est gentille, Bullet, mais il ne faut pas non plus la prendre pour la blonde de service... J'ai donc retrouvé le beau parleur qui a disparu comme par enchantement après plusieurs coups de fil prometteurs et... à mon tour de me déguiser !

C'est tellement simple, de s'inventer une autre vie, une autre identité, un autre style ! pour peu que l'on connaisse un tant soit peu l'interlocuteur, c'est un jeu d'enfant que de le rouler dans la farine et lui faire ce qu'il fait continuellement à d'autres. Seul le prénom a changé, mais pas son numéro de téléphone...

Je serais vraiment vacharde, tiens je le mettrais ici, son numéro, juste histoire de m'amuser encore un peu... Mais non, je n'ai pas un brin de cruauté en moi et je ne suis même pas fière du rendez-vous factice que je lui ai donné.

Je savoure simplement ma vengeance. Pour la 1ère fois de ma vie j'ai rendu coup pour coup et c'est vrai que cela a quelquechose de jouissif. Pour sûr, il recommencera aussitôt, pour sûr il ne se remettra même pas en cause, pour sûr la faute sera à la brunette imaginaire, qui ne savait pas ce qu'elle voulait ; mais j'ose croire que cela refroidira un peu ses élans de "sincérité, honnêteté, générosité, dévouement, prévenance" (et j'en passe) dont il se targue d'être à tout bout de phrase.

Il faudrait que nous, les femmes, dites du sexe faible, soyons un peu plus comme eux... Ainsi peut-être que les hommes mariés, se voyant jetés en permanence arrêteraient de séduire tout ce qui passe... et peut-être aussi que les beaux parleurs réviseraient leur langage ?

Laissez-moi donc rêver, pas vrai ?

jeudi, 15 mars 2007

Allô Max ?

J’ai commencé à lire « les hommes viennent de Mars, les femmes de Vénus ». Je ne compte pas y apprendre des grandes choses, mais peut-être y trouver quelques explications sur, par exemple, ce phénomène très répandu chez l’être mâle, à savoir le mode « silence radio » qui s’enclenche parfois sans que l’on sache le pourquoi du comment ; sans explication logique, sans raison apparente.

Devant la multiplicité des exemples au fur et à mesure que j’avance dans la vie, j’essaie de décrypter et de comprendre, sans encore y être arrivée.

Au début, on se dit « j’ai dû dire un truc la dernière fois qui l’a bloqué… » mais après vérification : même pas ! (dans les ¾ du temps, le « je ne rappelle pas car je suis vexé » cesse aussitôt que l’être mâle dépasse les 30 ans d’âge, sinon c’est souvent qu’il a un léger problème de maturité), J'ai constaté que finalement rien de litigieux n’était resté en suspens…

Ensuite on se dit « il dû (encore) oublier ! » certes, les êtres mâles ont une mémoire bien plus sélective que les êtres femelles et ce genre de « détail » passe souvent à la trappe, dont acte. S’il oublie de rappeler, ce n’est jamais bon signe, n’est-ce pas mesdames ?

On se dit aussi qu’il est débordé de travail, le pauvre… trop sollicité pour avoir ne serait-ce que 2 minutes pour dire « je te rappelle comme prévu ». D’ailleurs mon étude conclut que c’est l’argument premier qui est avancé comme excuse. Facile, pratique, invérifiable : LA raison idéale, implacable mais hélas tellement galvaudée de nos jours que si l’on peut y croire au début, l’argument perd de son essence avec le temps…

Il reste enfin l’être mâle-type qui dit qu’il rappellera comme s’il disait « il fait beau aujourd’hui ! », une façon de parler sans même réaliser qu’il déclenche chez l’être femelle une réaction immédiate d’attente, (oui, oui le téléphone à peine raccroché !). Un genre de comportement totalement inconscient de sa part, qui engendrera par la suite une poussée d’urticaire chez la femelle, ainsi que des ruades et autres soufflements de fumée par les narines. Là, le mâle ouvrira de grands yeux et ne comprendra réellement pas ce qu’il a pu commettre comme impair.

Bref, voilà le comportement-type qui me laisse pantoise... Pour moi, cela relève d’un certain manque de correction, d’une forme de lâcheté et d’une dose de flemme qui, loin de me séduire, me donne une envie irrépressible de tourner les talons.

A bon entendeur…

dimanche, 11 mars 2007

Separated lives

Il est venu. Il savait avant que je ne parle. Il a approuvé.

J'ai fait la brave, toujours paraître forte.

Il m'a serrée fort contre lui.

J'ai fait pareil.

Une dernière fois.

"Sois heureuse"

"Ne disparais pas complètement de ma vie..."

Les larmes des deux côtés qui débordent des yeux.

"File"

Refermer la porte sur lui

 

Knock

Out

 

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samedi, 10 mars 2007

[.../...]

Le rendez-vous est pris.

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Paradoxal d'avoir un rendez-vous pour une rupture. Mais c'est ainsi.

Viendra-t-il ou pas ? Sera-t-il passif et résigné ou battant et obstiné ?

J'espère qu'il viendra, qu'il affrontera en face et qu'il acceptera les choses telles qu'elles sont. Je pense qu'il a très bien compris, par mon silence, ce qu'il en était. Il se doute qu'il vient récupérer ses affaires mais j'aurais aimé le garder comme ami et là je pense qu'il risque de ne pas être d'accord...

Pourvu qu'il ne me jette pas à la figure le bracelet de St Valentin, ca sera déjà pas mal.

lundi, 05 mars 2007

Samedi

J'aime bien, le WE, prendre mon temps et regarder en dégustant ma ricoré matinale, un petit film. Ce matin, c'était "comme t'y es belle". Un cliché un peu exagéré de la communauté juive au travers de 4 femmes assez semblables.

Et voilà que je me suis mise à pleurer comme une madeleine, juste parce que comme à tous les coups, quand on les voit tomber amoureux là, sous nos yeux et bien il n'y a rien à faire... je craque.

Juste pour ça ? Peut-être pas tout à fait. Le sentiment aussi que j'étais dans le film, moi aussi, il n'y a pas si longtemps et que j'y ai goûté, je l'ai frôlé ce bonheur... et ça laisse un goût drôlement amer.

 

Après, je peux toujours me dire que c'est du gâchis, que c'était peine perdue et que je le sentais, que j'ai été bien conne d'y croire et que, tout de même, il est bien bête de nous faire rater ça... mais cela ne sert strictement à rien. Alors autant chasser ces pensées et sortir...

Bon WE à vous, accros d'internet !